Les clowns du football-business français ne sont plus "en goguette" !
Les spectacles proposés par les confrontations entre les villages français lors du championnat de football-business sont souvent, depuis de nombreuses années, d'une affligeante médiocrité, sauf très rares exceptions.
Déjà bien avant l'arrêt Bosman, qui sert souvent d'argument facile pour masquer l'incurie du travail collectif des tribus nationales, les rencontres contre les homologues européens ont toujours frisé l'indigence de manière récurrente.
Quelques mémorables épopées, à intervalles malheureusement très irréguliers, ne remplacent pas le grotesque du bilan national depuis l'instauration des confrontations européennes.
À cet égard, n'oublions jamais que le RSC Anderlecht (BELGIQUE) possède, à lui seul, plus de trophées européens que TOUT le football français réuni !
Au ridicule des prestations sur l'herbe, pas toujours très verte, s'ajoute maintenant celui des négociations sur les canapés des salons feutrés où flambent les €uros !
Quoique bardés de fiscalistes, d'avocats spécialisés, de banquiers d'affaires et d'hommes de média, ces clowns de représentants du football-business français se sont fait "rouler dans la farine", comme de vulgaires besogneux d'une table de poker.
La violence de la chute est proportionnelle à l'arrogance de ces gens-là au moment de communiquer leur réussite de pacotille qui interpellait pourtant tous les observateurs juste un tant soit peu avertis.
Vendre cette "Ligue1-Pizza" seule, à ce prix-là et, qui plus est, sans aucune garantie bancaire, rapprochait le deal des meilleurs spectacles internationaux de prestidigitation ! Croire, en plus, que les "spectateurs-passionnés" de football-business n'étaient que des gogos incultes, à qui il était parfaitement possible de soutirer en 2020 un abonnement mensuel ubuesque, sans aucune contrepartie de spectacle crédible, révélait aussi le mépris et l'arrogance de ces cravatés des tribunes "petits-fours".
C'est une grenouille, chère à Monsieur Jean de La Fontaine, qui devrait servir de trophée de l'année footballistique 2020 mais nous avons déjà la détestable impression que c'est en mendiant, c'est de saison, le soutien financier de l'État, pourtant déjà exsangue, que ces tristes sires veulent compenser leurs incompétences notoires !
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