top of page

La défaillance du coureur Alexandre Benalla (Team Élysées-Dreams) dans les Pyrénées, seul fait marqu


S'il n'y avait pas eu cette improbable défaillance d'Alexandre Benalla, équipier de luxe de l'équipe "Élysées-Dreams" dans les étapes pyrénéennes, empêchant ainsi son leader Manu Mac- Cron d'exprimer toute sa classe, le Tour de France 2018 se serait terminé dans une somnolence généralisée.


Après une première semaine déjà bien amputée par l'agitation des nouveaux patriotes du football-business, l'écurie de formule 1 SKY a transformé toutes les adversités potentielles en simples voitures de tourisme, certes élégantes.

Qui plus est, c'est un nouveau numéro de transformisme qui a été réitéré par SKY, après celui particulièrement réussi de Sir Bradley en 2012.

Le cycliste qui venait de nulle part, sans doute fatigué par des crises d'asthme à répétitions et asphyxié par les frais occasionnés pour le traitement adapté, n'étant pas en mesure de produire suffisamment de watts dans les montagnes, c'est un gallois beaucoup trop frêle pour le Millennium Stadium qui est devenu le nouveau Roi du Tour de France 2018.


L'innocence n'est, en principe, plus de mise en matière de cyclisme-business depuis, entre autres, l'US Postal de l'ami Lance mais, à priori, toutes les questions pertinentes restent sans réponse.

Il faut être dans le politiquement correct, avaler la couleuvre sans sourcilier, voire supporter l'habileté dialectique de Dave Brailsford qui parodie régulièrement la fameuse envolée lyrique "Armstrongienne" : " Je suis triste pour vous qui ne savez pas rêver en grand ! "

Et pourtant, comment la SKY réussit-elle à transformer le profil biologique de base d'un athlète de très haut-niveau à plus de trente ans ? De pistard, champion olympique de poursuite, à routier très performant sur des courses très spécifiques d'un jour, à équipier de "grand luxe" dans des étapes de hautes montagnes sur des courses de trois semaines, à grimpeur époustouflant vainqueur sur les hauteurs de l'Alpe-d'Huez, à maillot jaune sur les Champs-Élysées !


C'est dans cette niche d'incompréhension à caractère scientifique, renforcée par l'ultra domination du collectif SKY sur le reste de tous les prétendants à la victoire finale, renvoyés au rôle de simples faire-valoir, que se nichent, malheureusement, tous les doutes et toutes les suspicions.

Du 100 m au marathon olympique ?

Pourquoi seule la SKY réussit cette magie ?

Pourquoi aucun autre coureur professionnel extérieur au laboratoire chimique anglais et possédant autant de talent de base, voire plus que l'ami gallois, n'entreprend cette métamorphose opportuniste ?

Pourquoi aucun autre sport ne parvient à ce miracle ?


Comme l'empire SKY a plus de moyens que l'Union cycliste internationale (UCI) et Amaury Sport Organisation (ASO) réunis...nous savons très bien où se trouveront les meilleures avocats, le moment venu.....s'il arrive !


Rendez-vous en 2019 car...The Show Must Go On

" Espaces vides - Pour quoi vivons-nous ? Endroits abandonnés - Je pense que nous connaissons le score Sans cesse Est-ce que quelqu'un sait ce que nous cherchons ? Un autre héro, un autre crime stupide Derrière le rideau, dans la pantomime Tiens le coup Est-ce que quelqu'un peut encore y arriver ? Le spectacle doit continuer Le spectacle doit continuer A l'intérieur mon coeur est en train de se briser Mon maquillage est peut-être en train de s'écailler Mais mon sourire reste encore...."











Featured Posts
Recent Posts
Archive
Follow Us
  • Facebook Basic Square
  • Twitter Basic Square
  • Google+ Basic Square
bottom of page